Rencontre Frere Muslim

et en Bob Dreyfuss, Saudi Arabia and the Brotherhood: What the New York Times Missed, The Nation, 13 juillet 2012, consulté le 17 avril 2014. Cette supplication. Une fois quil eut appris cette supplication, Bism-il-lâh-ir-Rahmân-ir-Rahîm. Bism-il-lâh-in-Nûr, La violence des religions quelle quelle soit a toujours été le fait des hommes. Avez-vous vu Dieu intervenir directement pour anéantir les Athées, les pécheurs, les malfrats? Pourtant cela serait si facile pour lui si cétait sa volonté ou sa fonction dêtre un Dieu punisseur? pluie. LAthân doit être prononcé dans loreille droite-Rome : Pontificia Università Gregoriana : Cristianesimo e Islam a confronto 24h. Pontificia Università San Tommaso dAquino : Theology of interreligious dialogue 12h. Islamic Mysticism, PISAI, Institut pontifical détudes arabes et islamiques. 2016 1er semestre Cours : Soufisme et modernité. Facultés jésuites Centre Sèvres 14h. 2015 2e semestre : Cours : Dialogue et mystique musulmane. Facultés jésuites Centre Sèvres 14h. Islamic Mysticism, PISAI, Institut pontifical détudes arabes et islamiques. Spirituality of dialogue, Université pontificale Saint Thomas dAquin. 2014-2015 Poste dA.T.E.R au Centre autonome denseignement pédagogie religieuse CAEPR à lUniversité de Lorraine, Metz, avec les cours suivants : 2015 Master Lopposition entre le Baas et les Frères Musulmans qui se développe de 1963 à 1982 ne se limite pas quà une fracture idéologique. Le Baath ne rejette pas linfluence de lislam, mais pour les Frères Musulmans, lidéologie de ce parti est une trahison de la doctrine islamique. Les premiers incidents ont lieu dès juillet 1964 et dégénèrent en émeutes, particulièrement à Hama, un des bastions du conservatisme religieux. Les événements dégénèrent quand des manifestants tuent un milicien baasiste. Marwan Hadid, un activiste musulman, se retranche avec ses partisans dans la mosquée Sultan, et tient 29 jours avant de se rendre, montrant déjà lexistence dun courant islamiste radical. Le régime va alors tenter de contrôler ce mouvement religieux, et ce dautant plus que larmée et le parti Baas sont de plus en plus dominés par les minorités. Hafez al-Assad, qui sempare du pouvoir en novembre 1970, se montre dabord conciliant à légard des sunnites. Mais dès 1973, les Frères Musulmans, déçus de ses gesticulations, rejettent non seulement le parti Baas mais aussi le régime lui-même, de plus en plus dominé par les Alaouites. Pour de nombreux Syriens déshérités, ces bouleversements politiques ont été loccasion dune ascension sociale fulgurante. Le régime a veillé, via une politique de réforme agricole et de nationalisations, à casser linfluence de lancienne élite ; en outre, les classes pauvres et moyennes des villes, électorat traditionnel des Frères Musulmans, sont relativement délaissées au profit des masses rurales. Les choix dAssad en matière de politique étrangère gonflent aussi le mécontentement des Frères : invasion du Liban en 1976 pour combattre lOLP, soutien à lIran chiite pendant la guerre Iran-Irak en 1980 Le parti Baas sefface devant la domination du clan Assad et les protestations tournent à lémeute dans les grandes villes syriennes dès la fin des années 1970. A Hama et Alep, les habitants se sentent mis à lécart par la mainmise du parti Baas sur le pouvoir en 1963. A Alep, le massacre des cadets alaouites de lEcole dArtillerie, en 1979, déclenche une répression suivie dune vague de manifestations mais qui reste assez pacifiques. A Hama au contraire, le meurtre dun chauffeur de camion par un paysan alaouite conduit aux discours enflammés des Frères Musulmans et de lAvant-Garde combattante pour soulever la population contre le régime. De 25 à 40 000 habitants sont massacrés par les troupes prétoriennes dAssad en février 1982. Cela est dû à lalliance étroite entre le mouvement paysan, les marchands, les Frères et les notables ruraux. Damas, surveillée par les compagnies de défense du frère dHafez, Rifat, reste au contraire relativement calme. Les élites locales ont contribué à calmer le jeu mais une nouvelle génération dactivistes islamistes a émergé, qui utilise une rhétorique religieuse et est prête à recourir à la violence pour atteindre ses buts : elle a manqué de déclencher une guerre civile sectaire. Il faut dire quà la fin des années 1970, lopposition islamique au régime est devenue de plus en plus sectaire. Les Alaouites, qui constituent environ 10 de la population syrienne, étaient socialement marginalisés, économique exploités et isolés religieusement jusquau mandat français. Les Français ont utilisé le ressentiment des Alaouites contre les sunnites, en leur donnant, pendant un temps, leur propre Etat 1920-1936. En revanche, à lindépendance, les sunnites dominent le jeu politique et marginalisent les alaouites jusque dans la région où ils sont dominants, Lattaquié. Mais les alaouites ont investi le parti Baas et surtout, depuis le mandat français, le corps des officiers de larmée. Il faut attendre cependant 1969 pour que les Alaouites simposent vraiment au sein du parti qui a pris le pouvoir. Cest ce que consacre aussi larrivée dHafez el-Assad lannée suivante. En réalité, le régime nest pas complètement alaouite : Hafez sallie avec la bourgeoisie sunnite de Damas qui obtient des postes dans le Baas en échange de son soutien. Il sappuie sur sa famille, son clan, sa secte religieuse et sur les officiels du Baas dans la campagne. Le baril de poudre sectaire explose cependant dès les années 1970. Lopposition islamique sest radicalisée, notamment sous leffet de lAvant-Garde combattante, un mouvement djihadiste lié aux Frères Musulmans. Un membre des moukhabarat est tué à Hama en 1976, le recteur de luniversité de Damas et un professeur dAlep sont abattus en 1977, jusquau massacre, le 16 juin 1979, des cadets de lécole dartillerie dAlep par un commando de lAvant-Garde introduit par le capitaine sunnite et baasiste Ibrahim Yusuf, qui tue 83 personnes. Cest alors quHafez purge larmée et le Baas des sunnites et se repose largement sur les Alaouites. Lappareil répressif est dailleurs dirigé par eux : Rifat, mais aussi Ali Haydar, qui dirige les commandos, et Ali Douba, le chef du renseignement militaire. En dépit de cette alaouisation, le régime reste étroitement entre les mains dHafez el-Assad.Les Frères Musulmans regroupent en réalité une variété de sociétés et de mouvements islamiques préexistants. Un clan dHama est souvent vu comme sopposant à une faction dAlep. La distinction la plus opérante reste cependant, à partir des années 1960, celle entre laile de Damas et celle du nord, Alep, Hama, et dautres cités. La branche de Damas, plus modérée, va se retrouver progressivement marginalisée. Au départ, les Frères Musulmans sont surtout issus de Damas, ils se connaissent entre eux, cest une élite intellectuelle, leur discours est dailleurs plus intellectuel que politique : ils souhaitent un Etat islamique démocratique, où lislam est religion dEtat, source de la loi. Ils nont pas hésité à sallier avec des nationalistes réactionnaires en 1944. Cette empreinte damascène marque fortement Issam al-Attar, qui prend la tête des Frères de 1957 à 1969. Al-Attar, qui ne veut pas se départir du jeu démocratique et de la légalité, refuse de participer au coup dEtat préparé en 1962, ce qui lui est reproché par certains Frères. Durant la décennie 1960, les Frères Musulmans se déchirent donc entre partisans des villes du nord et ceux de Damas. Les premiers reprochent aux seconds de rejeter les particularités dun islam soufique dépassé par lexigence salafie. En réalité, cest un prétexte car certains Damascènes restent fidèles à lenseignement soufique : la querelle est avant tout une querelle de pouvoir, les Frères du Nord se sentent dominés par ceux de Damas. Al-Ittar est reconnu pour ses talents de prêcheur, mais pas pour ceux de politicien et de diplomate. Il se résoud à un exile plus ou moins forcé dès 1964, à Aix-la-Chapelle. La faction nord est dirigée par Amin Yagan, ladjoint dIttar à la direction de lorganisation : entre 1969 et 1972, les Frères Musulmans sont ainsi dire sans direction et les fidèles dal-Ittar sexilent également. Ces exilés dispersent linfluence du mouvement notamment en Angleterre. LAleppin Abdel Fatah Abu Ghuddah prend finalement la tête du mouvement, avant de céder la place en 1975 à Adnan Saadeddine, né à Hama, dont larrivée au pouvoir consacre la radicalisation politique et idéologique des Frères Musulmans, autour dun groupe de Hama mené notamment par Said Hawwa. Hama est également la patrie du radical Marwan Hadid, qui mène la lutte armée en 1964 et qui a rencontré en Egypte le Frère Sayyid Qutb, qui promeut la lutte armée contre Nasser. Jusquà sa mort en 1966, Qutb défend lutilisation de la violence pour renverser les régimes arabes impies et il a probablement influencé Hadid. Le succès du message repose sur son caractère universel. Marginalisé après son échec de 1964, Hadid part dans camps dentraînement palestiniens en Jordanie, avant den être chassés au moment de Septembre Noir. Revenu en Syrie, il crée lAvant-Garde combattante, un groupe délite de combattants chargés de mener des attaques ciblées contre le régime. Il est arrêté à Damas en juin 1975 et exécuté lannée suivante : en représailles, ses hommes abattent le major Muhammad Gharrah, le chef du renseignement général à Hama. Pour Abou Musab al-Suri, un des membres de lAvant-Garde et qui sera plus tard lidéologue dal-Qaïda, la période de 1976 à 1980 est un véritable âge dor du djihadisme. Abd us-Sattar az-Zaim transforme lAvant-Garde en une organisation terroriste professionnelle, décentralisée en cellules relativement autonome, tout en ayant infiltré les forces armées : nombre de ses membres se retrouveront plus tard dans al-Qaïda. Le régime croit dabord à une manoeuvre du rival irakien. Mais la vérité se fait jour quand Adnan Uqlah, un Aleppin, conduit le massacre de lécole dartillerie dAlep en 1979, Hafez el-Assad échappant à un attentat en juin 1980. Uqlah, qui dirige désormais lAvant-Garde, se trouve à la tête dune organisation accrue par larrivée de volontaires, et dirige le tout dune poigne de fer. Les Frères Musulmans, en se ralliant bon gré mal gré aux djihadistes, ont fait le jeu du régime qui a pu les accuser de terrorisme pour justifier une répression aveugle. A la mi-1979, une réunion des Frères Musulmans accepte le principe de lutilisation de la violence pour renverser le régime. Les moukhabaratciblent indistinctement les Frères Musulmans ou lAvant-Garde. La répression est notamment menée par Rifat, qui après lattentat contre son frère, en 1980, fait arrêter des milliers de personnes, dont 500 à 1 000 meurent en détention. La législation se durcit et une loi, la 49, datée du 7 juillet 1980, condamne à la peine de mort les membres des Frères Musulmans. Ali Sadreddine al-Bayanouni devient le chef de la branche militaire des Frères, qui reste cependant moins efficace que lAvant-Garde. Si les Frères sunissent face au régime, les dissensions demeurent et le commandement unifié se dissout vers la fin de 1981. LAvant-Garde et la branche locale des Frères à Hama, devant loccupation progressive de la ville par les forces de sécurité, commencent à distribuer des armes aux habitants et à appeler au soulèvement. Les Frères dHamas se désolidarisent de ceux dAlep, et Adnan Uqlah, qui était à Amman, est rappelé par Umar Jawa, le commandant de lAvant-Garde, à Hama. La direction des Frères enjoint à Jawa de ne pas provoquer de soulèvement, mais le message narrive pas, probablement à dessein. Les 400 militants de lAvant-Garde sont rejoints par des milliers de sympathisants en février 1982 à Hama. Le régime envoie les compagnies de défense, qui se sont déjà tristement illustrées dans la répression, et la 3ème division blindée. Hama est pilonnée par lartillerie, des quartiers entiers sont pulvérisés. Le nombre de victimes, impossible à établir précisément, se chiffre entre 10 et 40 000 morts. Les services syriens découvrent alors que lIrak a protégé une partie des islamistes radicaux syriens, et leur a fourni des armes. LArabie Saoudite a aussi servi de pays de refuge pour de nombreux exilés. rencontre frere muslim Ce nest aujourdhui plus un secret, les produits des supermarchés sont étalés sur les étagères de manière stratégique pour nous Fawaz Gerges, The Obama Approach to the Middle East, op.cit. Un homme qui navait aucune mais aucune conversation à part ça va? ça va et toi? ben tranquille, que racontes-tu ben ça va tranquille et toi ça va?même avec la meilleure volonté du monde je nai pu soutenir une conversation au-delà de 10min! du tronc du palmier, elle dit:Que ne suis-je pas déjà Vous ne pouvez pas donner de largent à tout le monde. Mais montrez leur un visage radieux et faites preuves de bonne moralité. Déclaré hassan Par Cheikh Al Albani. 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Lislam complète la lignée des religions monothéistes. Qui aime Jésus, quand il rencontre Mahomet, ne peut que laimer aussi. Et il peut continuer à aimer Jésus dans lislam. De sorte quun catholique converti à lislam peut continuer à lire les Évangiles. Il na pas à renier son cœur. Je commence par le Nom dAllah! Toutes les Louanges sont à Allah En, lorganisation entre en contact avec, le grand de, et participe à linsurrection arabe de Palestine de. En, crée une branche armée arabe de Palestine du mouvement, qui a pour objectif de combattre le mouvement. Les Frères musulmans connaissent du succès et de nombreux militants participent à la. Ici, seules des personnes de confession Musulmane peuvent sinscrire. Cest ainsi que nous avons pu créer une large communauté de célibataires croyants et venant des quatre coins du monde pour trouver lamour au près dun homme ou dune femme musulmane. Notre site de rencontre muslim est fait pour eux, et pour leur permettre de réaliser leurs rêves dune relation solide et durable basée sur les fondements et les traditions du Coran et de lIslam Sunnite. rencontre frere muslim En ce vendredi de juillet 2015, au centre islamique Al-Hikmah de San Juan de Aragón, un district de la zone nord de Mexico, la petite communauté célèbre le ramadan, mois sacré de lislam, le neuvième du calendrier lunaire musulman, au cours duquel Mahomet reçut la révélation du Coran. La mosquée dAragón est en réalité une maison particulière dun quartier populaire, que limam Isa Rojas a aménagée avec une décoration arabisante ouvertures de fenêtre en ogive, tapis au sol et citations du Coran aux murs. Depuis 2006, le lieu est officiellement devenu un centre islamique, peu après le retour dIsa Rojas dArabie saoudite, où il avait passé huit ans à étudier la loi et la théologie islamiques à luniversité de Médine. Yashar vit en Iran avec toute sa famille. Il est musulman pratiquant. Mais Jésus a un plan différent pour lui. Cet espace doit toujours demeurer en cohérence avec les valeurs dAleteia. Jai tapé sur Google célibataire à 30 et plus en islam aller savoir pourquoi lol et je tombe sur ce post que je trouve beau, sincère, et rassurant.QuAllah accorde à chacun et chacune de nous un partenaire de vie qui sera un bien pour nous dans ce bas monde et qui sera un bien également pour nous dans lau dela.Du fond de mon petit cœur. Pour commencer, ma rencontre avec lislam. Les temps de prière sont des moments de parenthèse où lon se retrouve extrait de son quotidien, pour se retrouver avec des personnes de milieux différents. Jai ainsi rencontré trois jeunes pratiquants qui réussissaient leurs études. Jai voulu leur ressembler. Ils avaient de bonnes discussions, correspondaient à mes aspirations. Jai vécu leur fréquentation comme un privilège. Un jour, je commence à faire ma prière seul. Cette fois, je suis encadré par deux arabophones : un ouvrier et un étudiant en médecine vétérinaire venant du bled. Lun deux, Mohammed, décide de memmener chez limam qui nous avait parlé du conflit israélo-palestinien. Après un portrait idyllique des Frères musulmans, on me demande de mexprimer sur les différents courants islamistes. Je récite ma leçon sur la confrérie, et limam irakien, responsable des Frères musulmans, me demande de répéter le pacte dallégeance. Jai vécu ce moment comme une élection. Je ne pouvais que dire oui. Le destinataire recevra votre message sur le site ainsi quune notification sur sa boîte mail, il sera en mesure de vous répondre sil le souhaite. et en Hussein Ibish,, October 5, 2013, The National consulté le 8 octobre 2013. rencontre frere muslim.